Un petit résumé du café numérique d’hier, nous étions @harlock, que je remercie pour sa participation, et moi les 2 participants de cet atelier ; en parallèle l’atelier couture a bien eu lieu également, avec 4 participants.
Un regret, il n’y a pas eu de synergie ou de temps commun pour l’échange entre les 2 ateliers, mais j’espère que ça pourra se faire la prochaine fois. Sinon bonne ambiance générale avec du café préparé par Fabienne et de l’eau bien fraîche. Dans le local nous étions au total 6 personnes, c’était très calme.
Le café/atelier numérique #2 a été la première occasion de discuter sur la cartographie libre, et les différents angles sous laquelle on peut l’aborder. Notamment l’angle de l’efficacité (les détails de la carte OSM par rapport à celle de Google Maps, ou la reconnaissance de certains outils libres de cartographie par le monde professionnel) versus l’angle de la liberté (les données cartographiques soumises à une licence libre).
« Dans le monde professionnel, on ne parle pas d’éthique, mais d’efficacité »
Une phrase que j’ai noté de notre discussion, qui ne surprend pas.
Pour moi la culture/connaissance libre devrait être mise plus en avant, et je serais plus enclin à parler de la cartographie libre sous l’angle de la « connaissance libre » et des licences libres qui permettent le partage de la connaissance (sa réutilisation et son adaptation). Et à faire ds parallèles avec le droits d’auteur (une « culture » de la permission : puis-je svp avoir votre permission de…), et la propriété intellectuelle.
Pierre a évoqué une idée intéressante pour la cartographie : l’indication de sites patrimoniaux à l’abandon et en voie d’oubli par les collectivités, comme des chemins ou des bâtiments historiques plus ou moins en ruines du 19ième siècle.
Au niveau pratique, depuis l’éditeur ID, nous avons positionnés un point indiquant le parking d’Ekopratik en lui ajoutant des attributs pour indiquer la capacité et la présence d’une place de stationnement réservée aux handicapés.